La fête liturgique de Notre-Dame du Rosaire est célébrée le 7 octobre dans l’Église catholique, en souvenir de la victoire de la bataille de Lépante, attribuée à l’intercession de la Vierge Marie invoquée par la prière du rosaire.

Le 29 septembre, l’Église fête spécialement les trois archanges Michel, Gabriel et Raphaël. Messagers du Seigneur, ils constituent d’abord la foule immense des adorateurs du Dieu vivant. Fêter les archanges engage à s’inspirer de leur double fidélité : contempler, faire connaître Dieu.

Définition : En Esprit et en Vérité (Église catholique)  

Cette expression est indissociable de l’adoration. Adorer Dieu c’est selon la révélation qu’il a donné de lui-même dans la personne et l’œuvre du Christ Jésus. (Jean 14, 6) – (Jean 18,37) ; vivre dans une communion plénière avec Dieu, avoir une attitude d’ouverture et d’accueil à l’action de l’Esprit Saint, Esprit de vérité.

Le titre de Notre-Dame des Douleurs doit son nom aux sept Douleurs éprouvées par la Vierge Marie relatées dans les évangiles, qui angoissèrent et firent souffrir la Vierge Marie dans la mesure où elle accompagnait son fils Jésus dans sa mission de Rédemption.

Notre-Dame des Douleurs est liturgiquement commémorée le 15 septembre dans l'Église catholique. C'est également tout le mois de septembre qui lui est dédié chaque année.

Le 14 septembre, 40 jours après la fête de la Transfiguration, l'Église célèbre la fête de la Croix Glorieuse. Instrument du salut, la Croix glorieuse permet d'entrer dans le mystère chrétien et de découvrir ce langage de la Croix du Christ.

Les commandements de l’Église se placent dans cette ligne d’une vie morale reliée à la vie liturgique et se nourrissant d’elle. Ces lois garantissent aux fidèles le minimum indispensable dans l’esprit de prière et dans l’effort moral, dans la croissance de l’Amour de Dieu et du prochain (CEC 2041).

Chacun se trouve confronté, à un moment ou à un autre, aux difficultés de l’existence : problèmes de santé, séparation, deuils, chômage, inquiétudes pour les enfants… Quand la personne supporte ces épreuves difficiles avec patience, on emploi l’expression « porter sa croix ».

Marie pour les chrétiens (catholiques et orthodoxes), Myriam pour les juifs et les musulmans
La figure de Marie est commune aux trois religions monothéistes : judaïsme, islam et christianisme. Elle est aimée et honorée dans la tradition chrétienne et musulmane : la mère de Dieu peut se révéler un trait d'union entre les croyants